Au milieu de l’hiver qui est revenu, rêves de plongée:
Photos de plongée Mer Rouge
Bon surf.

En fait, c’est un projet qui mûrit.
L’idée - à reprendre dans un édito digne de ce nom - c’est d’accompagner des personnes dans une démarche de collection le plus tôt possible - ma tranche d’âge, des trentenaires. En les faisant se rencontrer, en leur présentant des artistes régulièrement et en garantissant que les prix des oeuvres auxquelles ils ont accès sont au meilleur prix puisque la commission de 50% prise par les galeries n’existe plus. En bref, on tue un peu plus le business des galeries!!!
Meilleur prix ne dit pas bas prix… L’artiste, même s’il évolue dans un marché de petite dimension, travaille comme nous tous et son temps a un prix, qui s’élève avec la demande de cet artiste. Il y a un prix plancher, le SMIC de la peinture en définitive.

Quelle bouffée d’oxygène en sortant du boulot le soir de rentrer dans l’univers de François, coloré, enjoué, léger. Comment peut-on être insensible à l’art je me le demande?

Blague

Il est temps d’aller s’habiller les filles:
Tara Jarmon

de temps font plus que force ni que rage.
Que c’est difficile de patienter quand on veut que les choses se passent tout de suite et maintenant. Heureusement, l’humanité a inventé l’Internet pour que nous puissions passer le temps plus ou moins publiquement.
Dans une histoire de blog, voilà quelques autres blogs très reconnus grâce à la nature prolixe en matière littéraire de leurs créateurs. Apparemment c’est un métier aux US.

L’initiative Mir-w-Art est une source de plaisir et de bonheur inégalée! Aujourd’hui, dans une journée maussade au sens propre et figuré, message de FH qui peint, qui peint sur les crêtes pour préparer l’expo. Je pense qu’elle va être superbe comme la précédente.

J’offre une bouteille de champagne à la personne qui donnera le nom des tableaux et des peintres représentés sur la page d’accueil www.mir-w-art.org.

Le thème est cher à mon coeur. J’y reviendrai…
Hier, j’ai été poser des affiches annonçant l’exposition avec François. La tâche a été longue pour 10 affiches. Globalement, ayant ciblé les lieux avec précaution, j’étais plutôt en environnement amical (commerçants du quartier nous connaissant). Donc je bénéficiais d’oreilles bien intentionnées. Pourtant, encore une fois, je me suis rendue compte de combien il est difficile d’expliquer la gratuité! C’est-à -dire que le concept étant étranger à beaucoup, il faut commencer par définir les mots mécénat, gratuité, avant de pouvoir en arriver au coeur même de l’action, soit le soutien à des artistes dans ce cas précis. Sachant que pour éveiller l’intérêt d’une personne le slogan d’ouverture doit être percutant, on imagine l’effet de produire dix minutes de définition… Cela me rappelle la première exposition avec Marc, dont la plupart des visiteurs sont repartis en pensant que Mir-w-Art était une entreprise commerciale.
Enfin, plus l’obstacle est haut, plus on a de mérite à le sauter.

ne pas en faire un monument d’autosatisfaction!!!